Game over.
Cette fois, c’est terminé. Avec des sanglots dans la voix, jusqu’au bout, elle se sera accrochée… à son fauteuil de Première ministre. Alors que certains ironisaient sur sa prison – appelée plus communément 10 downing street – en affirmant qu’elle s’était barricadée avec ses meubles pour ne pas partir, ses autres collègues, n’ont versés que des larmes de crocodile.
Si Emmanuel Macron a salué son courage, il ne serait pas faux de qualifier son mandat de chaotique. En ayant joué la montre, Theresa May aura enclenché le compte à rebours de sa propre mort (politique). Une interrogation de plus à ce Brexit interminable qui prend l’ensemble des européens en otage. On se dirige vers un Brexit dur nous dit-on.
Est-il cependant possible de vivre pire scénario ? Une sortie sans accord, un pays sans projet, une Union sans avenir. Un député, s’amusait même à comparer l’actuelle situation à la fin de Game of Thrones : traduisez, une fin qui ne satisfait personne.