Un contrat torpillé.
C’est l’histoire d’un pays autrefois grand et respecté qui n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même. Un pays qui s’est récemment fait chiper un contrat à 50 milliards d’euros. Une nation qui chute de plus en plus bas au classement du Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA). Le dénouement d’une ex-puissance coloniale qui s’apprête lors du référendum d’indépendance de Nouvelle-Calédonie, prévu le 12 décembre, à abandonner sa présence en Océanie. L’histoire d’un peuple qui vit encore l’époque nostalgique des Trente Glorieuses, et qui n’a toujours pas compris que ce temps était révolu. C’est la triste conséquence d’une société qui en est restée à l’ère de l’industrie et qui n’a pas su consolider la création d’un géant de l’internet pouvant concurrencer les GAFAM.
Il est venu le temps de réécrire l’histoire. Les Français doivent comprendre que ce pays seul, n’a plus rien de grand. Pourtant, une solution existe pour rivaliser entre le bloc États-Unis/Chine. Le Royaume-Uni l’a bien compris, en rejoignant l’alliance américano-australienne, nous ayant au passage coûté le contrat du siècle. Cette solution nous l’avons devant nous : la création d’une supra-nation et armée européenne, championne dans tous les domaines et influente aux quatre coins du monde.
