Libérés, mais pas délivrés.
Nous sommes en train d’assister à une anticipation progressive de la réouverture des bars et des restaurants. Ce qui est en soi, une bonne chose. Certes, comme le dit la réclame : « le virus est toujours là, et il est dangereux ». Mais rouvrir les écoles, les commerces de proximité et autoriser les gens à s’entasser dans les rames du métro est somme toute contradictoire avec la fermeture toujours en vigueur des parcs, hôtels et restaurants.
Certes, ils ne sont pas indispensables à la vie du pays, mais ils sont primordiaux pour maintenir le moral de la nation. Non, les Français ne sortent pas de deux mois de vacances comme ont pu exhorter certains. On ne cesse de nous répéter qu’il y aura en septembre, une crise sans précédent. Toutefois en attendant, laissez les gens s’aérer l’esprit !